▲ hardest of hearts (ended)

❝ Louder than sirens
Louder than bells
Sweeter than heaven
And hotter than hell ❞
FLORENCE + THE MACHINE △ DRUMMING SONG.

I - MIRACULOUS BREATH
NOM, PRENOMS : Hlynursdóttir, Freyja. DATE DE NAISSANCE, ÂGE : Freyja est née un certain 13 mars dix neuf cent quatre vingt huit, ce fut lors d'une nuit noire à Reykjavik qu'elle a vu ironiquement le jour. Ainsi, la jeune femme est âgée de vingt deux ans. ORIGINES : Elle est d'origine Islandaises et anglaises de par la famille de sa mère, son arrière arrière grand-père l'était et ce quoiqu'on en dise car ayant beaucoup voyager et après pas mal de langue, on se le demande parfois. TRAITS DE CARACTERE : Battante, pessimiste, négative, déterminée, sarcastique, fourbe, caractérielle, sympathique, amusante, adorable, changeante, lunatique, complexe, imprévisible, menteuse, compliquée, dynamique, intelligente, impulsive, rusée, maligne, mystérieuse, indécise, méfiante, arrogante, impatiente, affectueuse, solitaire, hautaine, détruite, attachante, garçon manqué, têtue, (...)

III - LOADED WITH COURAGE
Répondez à ces questions. Chaque réponse devra faire au moins cinq lignes.
Depuis quand habitez-vous Reykjavik ? Quand j'étais enfant, j'ai longtemps vécut au même endroit, soit à Reykjavik mais plus je grandissais, plus je changeais de ville avant de revenir aux sources. A l'âge de 10 ans j'étais à Londres, à 12 j'étais en France, à 14 ans en Irlande, à 16 ans j'étais à Saint-Louis avant de déménager un mois après s'être installé pour revenir à Reykjavik. Ainsi j'ai connu pas mal de ville et aussi de pays. Néanmoins, rien ne m'a jamais autant plus que ma ville natale. On y est comme déconnecté, sur une petite île cosi où tout est beau et merveilleux, un beau tissu de mensonge quoi mais j'aime ça alors j'y reste. Que vous évoque l'esprit de Noël ? Je sais pas torp ... Une bonne blague ? Après tout, le père noël existe pas lui. Oh, c'est vrai, chut, y en a qui y croivent encor epeut-être ?! Sérieusement, j'en sais rien. C'est un moment - et sans dout ele seul - calme et convivial de l'année. Même mon anniversaire c'est une pourriture à côté tellement noël c'est sacré. Bref, je dois avoir une dent contre noël et tout ce quis 'en suit ou se rapproche de près ou de loin mais je suis douée pour ne pas le montrer y paraît. Genre, je souris, je blague, je fais la grosse menteuse quoi, mais j'ai l'habitude maintenant. J'essaye d epas torp forcer sur le boisson lors de la soirée et de rester calme face à ma famille toute gagatisée par l'esprit de Noël. J'ai déjà dit combien je détestais Jésus et Noël ? Non ? C'est dit maintenant. Avez-vous décoré votre sapin de Noël ? Pourriez-vous décrire votre salon. Est-il plutôt festif ou fade ? Oui, d'ailleurs ce fut le pire moment de ma vie. Je déteste ça en tant normal mais cette journée là fut horrible en perspective. Déjà, on m'a levé de bonheur en prétextant que plus vite il sera mis, mieux ce sera et patati e tpatata, bref, ma soeur cadette est d'une originalité débordante et extraordinaire. Bref, debout à 5 heure du matin, mes parents avaient à peine râler quand ils ont été réveillé, pourtant, ce son des lève tard vite énervé quand on les empêche de dormir, comme quoi, c'est contagieux ce machin-là. En bas, dans le salon, nous avons monter le sapin, bout par bout et ouvert les branches, bref, pour qu'il soit tout beau tout bien fait. Une fois terminé, ma soeur a exigé de mettre les guirlandes avec moi, une vraie galère que je n'ai put refuser, mes parents toujours présents. Après m'être fait emmêlée cinq fois dans ces dernières, j'ai enfin put souffler car elles étaient mises. Fut ensuite le tour des boules de Noël que j'ai té obligé d'accrocher seule avec une directrice d echantier très chiante sur les emplacement, ma soeur chérie m'a fait changer sept fois de palce la prmeière boule, imaginer le reste. Une fois terminer, ce ne fut pas terminer. Oui, restait encor ele salon à décorer en entier. Les jeux de lumières déjà sur le sapin ne suffisaient pas, il en fallait par-tout. Autour des fenêtres puis au plafond et des guilandes par çi et des par là et la crèche ici puis non là et ainsi de suite. Ce fut la journé ela plus éprouvante de ma vie. Surtout pour un tel résultat ausis peu harmonieux. Les jeux de lumière passant par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel au plafond, des blanches aux fenêtres. Des guirlandes de différentes couleur à la porte et sur les meubles. Et les boules bleues du sapin n'allant pas avec le rose des guirlandes, les grises auraient été mieux, bref, un vrai ... Il n'y a pas de mot pour décrire ce foutoir. J'étais bien contente quand ce fut finit en tous cas.

IV - WHO WOULD HAVE KNOWN
PSEUDO : Red Shade.
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par un mail et puis sur bazzart aussi.
AVATAR : Alexandra Daddario.
COMMENTAIRE, QUESTION : J'adore déjà ce forum, autant que l'autre. =p Sublime design, magnifique contexte, admins de choc.

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II - TO INHALE A BEARD

Mon dieu, ma chérie, tu as réussit ! Tu es prise pour les régionales ! C'est ... Je la coupais : Formidable ! Oui ! J'étais fin prête, enfin prête pour aller aux régionales. Je faisais de la gymnastique depuis si longtemps que c'était devenu mon rêve, les Jeux Olympiques mais avant d'y arriver, je devais passer par différents niveaux et les régionales en était un. J'avais enfin mon rêve à porter de maina près m'être entraînée tant d'heure, tant de temps, tant d'années. Mon dieu ! Je n'en reviens pas, je suis qualifiée, je suis prise. Me répétais-je encore et encore même après l'annonce. Bon travail, Freyja. Me dit mon entraîneur. Merci monsieur Dolohov. Lui répondis-je, un immense sourire au lèvres qui le fit rire. Il avait beau être aussi dur que de la pierre à l'extérieur, il avait ses bons moments de gentilesses où il souriait un peu idiot. J'étais fin prête, j'avais mon rêve devant moi. Bientôt les régionales, je gagnerai.

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Lors des sauts, j'ai sentit une énorme douleur dans mon dos, je me suis redressée après ce dernier et j'ai appuyé contre, la douleur toujours là. J'ai soufflé, espérant que personne n'ait rien vut. Remettant mon bras le long de mon corps, je me retournais ... vers mon entraineur. Ca va, Freyja ? Un soucis avec ton dos ? J'évitai son regard une seconde. Mentir, pas mentir ? les régionales devant la porte et moi étant la meilleure du club, je n'avais pas le choix si je voulais aller aux JO ... Aucun monsieur, tout va très bien. Fis-je en souriant aussi crédiblement que possible. Il m'a observé un instant, un long moment en fait, un moment où je demandais au seigneur qu'il me croit, qu'il ne demande rien d'autre, qu'il passe l'affaire. Dieu m'entendis. Ok, va t'entrainer à la poutre alors. Il s'en alla aussitôt. j'observais le plafond, remerciant Dieu.

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Snædís ? Je pensais que ... Je ne finis pas ma phrase, la voyant finir de se faire piquer. Cortisone, atténue totalement la douleur, on peut en avoir une dose tous les six mois en tant que gymnaste, plus était possible mais déconseillé. J'en faisais une à chaque fois que je devais faire d ela gym denrièrement et pour le début des épreuves des régionales, mon dos me faisant trop souffrir. D'ailleurs, j'étais là pour ça, dans cette fichue salle, pour m'en injecté une sans l'avis de mes parents. Une dose de trop sans doute, une dose que je m'étais offerte en piquant cent dollars à ma mère pour soit-disant m'acheter une robe ... Dont l'argent s'était perdu en court de route, avais-je mentit. Quoi ? Tout le monde n'est pas comme toi, Freyja. Les gens mentent. Je l'ai regardé, étonnée que la meilleure de l'équipe adverse à la notre fasse ça. Elle n'en avait pas besoin après tout techniquement vu son niveau ... Mais c'était grâce à ca qu'elle en était arrivé jusqu'ici. Pas tous, non. Murmurrais-je avant de m'en aller. Devant la porte, je lachais la piqûre et la cortisone dans la poubelle et partait pour le passage aux barres. Passage que je ratais durement. A peine me lançais-je sur la deuxième barre, plus haute, que je la manquais et tombait .. Je vis le sol plus près que je ne l'ia jamais vu. La tête la première ...

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Je ne pourrais certainement plus jamais refaire de la gymnastique, dit le medecin à mes parents. Mon rêve est brisé à tout jamais. Etait-ce une si bonne idée de ne pas prendre la cortisone finalement ? Etait-ce la chute ou mon mal de dos qui m'avait brisé ça ? J'en saurais jamais rien je crois. Je vois mes parents entrer. Oh, ma chérie, tu es réveillée. Je souris, difficilement, mais j'y arrive. j'ai toujours été une excellente menteuse depuis que je sais parler et mes parents me croyent particulièrement bien, je trouve. Je soupire. Que dit le medecin ? Mes parents se regardent entre eux. Oups, mauvaise question. Comment allez vous ? Ou Je vais bien aurait été plus approprié sans doute. Loupé. Ils disent que ... Ca aurait put être pire. Ouai, c'est ça, je vais croire à ce baratin. me sparents me prenent encore pour une gamine de 5 ans ou c'est largement pire que ce qu'ils disent. Qu'est-ce que j'ai ... exactement ? Ils soupirent de concert avant de se regarder à nouveau, comme désolés entre eux, comme si un message télépathique était parvenu de l'un à l'autre. Mes parents, eux, mentent très mal. Une hernie discale, ma chérie ... Dis ma mère. C'est ... Reprends mon père. Je les coupe. Je sais ce que c'est. Ce que je veux savoir c'est si c'est grave. Ils recommencent ave cleur regards en coins désolés et moi je comprend senfin, je suis fichue. Je pensais que les medecins exagéraient tantôt mais non, c'était bel et bien vrai. Tu ne pourras jamais plus faire de la gymnastique ... Ou ... Commence ma mère. Ou tu ne remarcheras plus jamais. Finis mon père. Mon rêve était brisé à tout jamais.

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Viens vivre avec moi. Me dit soudainement Reynir. Prise de court, je ne réponds pas de suite. Je le fixe un long moment avant de lâcher, complètement incédrule : Quoi ?! Il rit un moment avant de me regarder fixement à son tour. Oui, viens vivre avec moi, Freyja. Je ris à mon tour, un long moment avant de voir qu'il est très sérieux. Oh. Tu es sérieux. Fis-je remarqué. Très. Je fais une pause assez longue avant de reprendre la parole. Pourquoi je ... ?! Il soupire, comme si c'était logique. Oui, aussi logique que de l'eau de source tiens. Tu seras loin de la pression de faire semblant. Me répond-il soudainement. Celle-là, je ne m'y attendais pas. C'était bien le seul à n'avoir pas vu que du feu dans mon cinéma. Zut, je m'étais bien fait avoir pendant tous ces jours où il faisait semblant de croire à mon baratin de 'je vais bien, ne t'en fais pas'. Je ... Je sais pas, Reynir. Tu sais, c'est pas une mince affaire ... Faudra convaincre mes parents, trouver un appart et- ... Il me coupe en riant. Je fais semblant de bouder, ce qui n'était pas loin de la vérité en fait. Il se reprend alors. Tes parents sont déjà ok et l'appartement, je l'ai aussi. Je reste abasourdie. Comment a-t-il put faire ça en si peu de temps ? Et convaincre mes parents d'aller vivre avec lui, un mec ?! J'ai mes relations, répond-il comme s'il lisait dans mes pensées. Puis pour tes parents, ils sont tellement inquiet que un ou deux bobars et ils me mangeaient presque dans la main. Je le coupe. Eh ! C'est de mes parents que tu parles, vieux ! Il rit. Désolé, Fey. Il ne me laisse pas le temps de prendre la parole, il enchaîne : Alors, t'es d'accord ? Demande-t-il plusieurs fois d'affilé. C'est à mon tour d'éclaté de rire. Ouai, j'en suis.