❝ THIS IS NOT A LOVE SONG. ❞ TERMINEE

I - MIRACULOUS BREATH
NOM, PRENOMS : Art Emíl Van Möshberg
DATE DE NAISSANCE, ÂGE : vingt-six novembre 1989, 21 ans.
ORIGINES : Islandaises
TRAITS DE CARACTERE : Impulsif ▪ hautain ▪ déterminé ▪ lunatique ▪ à double face ▪ arrogant ▪ menteur ▪ orgueilleux ▪ cultivé ▪ manipulateur ▪ franc ▪ possessif ▪ loyal ▪ selectif ▪ timide ▪ controversé ▪ joueur ▪ fier ▪ indépendant ▪ dépressif ▪ passionné ▪ instable ▪ toxicomane ...

II - TO INHALE A BEARD
Allongé sur le parquet de mon appartement vide et trop grand, je fixe le plafond qui me surplombe. En rentrant tout à l'heure j'avais mis en route la musique et maintenant je peux entendre dans un murmure presque inaudible le summertime de Janis Joplin et Jimi Hendrix. J'ai la bouche sèche, et sur ma langue demeure un désagréable goût métallique. Non loin de mon corps gisant sur le sol, les vestiges des derniers rails que je viens de me taper choquent sur le parquet en bois massif qui vaut une fortune et qu'une personne de mon âge n'est pas sensée pouvoir s'acheter. Immobile, je n'aspire qu'à m'oublier. Mais pourtant, elle est là, dans mes pensées. Son visage doux et pure, son regard pétillant et rempli de malice, sa fragilité palpable, sa beauté si singulière... Quoi que je fasse ou entreprenne je pense à elle, et ce soir, je la veux tout entière, je veux me fondre en elle, qu'elle murmure mon prénom et que durant une nuit, elle ne soit qu'à moi. Oublier le dérisoire de notre existence. Je sais que ce soir son copain n'est pas à son appartement, et c'est très certainement pour ça, qu'après avoir aspiré vivement les dernières trainées de poudre je me lève, et sors de mon appartement en titubant. Un vent frais souffle à l'extérieur et fouette mon visage engourdie par les drogues. Je ne sais pas si l'idée qui m'est venue ce soir est une bonne idée, mais porté par l'impulsion je ne peux faire autre chose que de me rendre chez elle, quitte à ce qu'elle ne m'ouvre même pas la porte. Arrivé devant son entrée, j'attends quelques secondes qu'elle daigne venir m'ouvrir, puis lorsque l'occasion m'en est donnée, sans réfléchir, fixant ses fines lèvres je m'engouffre dans son appartement l'emportant avec moi sans entrevoir l'idée de la relâcher.
Le délice de tes poignets désarticulés attachés aux barreaux, et celui de tes courbes qui se tordent dans un ultime effort vers la liberté. On le sait toi et moi, on le sait pertinemment, on fait juste semblant. Semblant de voir en tout ça un vaste rapport de force. Tu me l’as dit, tu t’es lascivement penchée jusqu’à moi, -en enfonçant tes ongles dans mon dos- «Attache-moi». Maintenant supplie-moi. Je veux ton corps entier, transpirant de sensualité, à genoux devant-moi. Je veux que tu hurles, que tu supplies, je veux t’arracher des larmes, et alors seulement je te saurai satisfaite. Cet instant sera, à jamais, notre plus intime torture, notre seul et unique exutoire, mélangeant ivresse, plaisir, et bien-sûr, mon amour, douleur. J’ai les mains brûlantes, j’ai le corps entier brûlant de toi. A mesure que mes doigts glissent sur tes hanches, à mesure que ta peau frissonne de culpabilité, langoureusement, sur ton visage se dessinent les prémices de ton plaisir à venir. Tes yeux papillonnent, tes longs cheveux dorés, eux, se répandent au dessus de ta poitrine palpitante. Ta voix s’éparpille dans l’air. Mes lèvres ne toucheront pas les tiennes, mon amour. Non, mes lèvres s’en abstiendront. Je préfère encore mourir plutôt que de te dire « Je t’aime ». Puisqu’il a fallu qu’on se fasse du mal, puisqu’il a fallu qu’on aime ça, je jouerai mon rôle, sans fausse note, jusqu’au bout. Et j’entends notre morceau de Jazz emplir l’air, indifférent, il se mélange au parfum de ta nuque. Oui, mon amour, il a fallu qu’on se fasse du mal. Dieu sait que je t’aime. Mais Dieu seul le sait.
Lentement j'ouvre mes lourdes paupières laissant ainsi la lumière agresser mes pupilles. Toujours endormie, Tyee est allongée contre mon corps dénudé. Le draps scandaleusement ne recouvre pas la peau maculée de son dos, et ses cheveux dorés et en bataille caressent ses omoplates. Je suis resté un long moment à la regarder dormir, avant de finir par me décider à me rhabiller. Délicatement je me redresse et quitte le lit, afin de me diriger vers la cuisine pour manger quelque chose et lui préparer, si l'envie me prend un petit déjeuner. Mais, plus les secondes et les minutes défilent et plus mon coeur se compresse, plus mon rythme cardiaque s'accélère et mes nerfs s'affolent. Car plus le temps passe, et plus je réalise que cette fille, que j'ai rencontré il y a à peine un mois, je ne la considère pas comme toutes les autres que j'entraîne dans mon lit, plus le temps passe et plus mon esprit s'éclaircit, plus je réalise avec effroi que je tiens à elle. La panique s'éprend alors de tout mon être, et c'est de la même façon que je suis rentré dans cet appartement cette nuit que je le quitte, sans un mot. Mon pas est accéléré et une haine dévastatrice s'empare de moi. Je la hais, je la déteste de m'avoir rabaissé à cela, je la hais à mesure que je tiens à elle. Et malheureusement pour Tyee, je détruis toutes les choses auxquelles je tiens.
Laisse-moi résumer. L’appel du vide, l’abîme dans sa toute-puissance, l’irrésistible besoin de se fondre en l’autre. Tu penses pouvoir comprendre le vain désir de la fusion ? Tu crois que tu l’as déjà connu ? Avoir la peau brûlante de l’autre, sentir chaque émotion, chaque révolte, chaque soumission, provoquées par l’unique catalyseur humain qui puisse jamais la provoquer. Vivre à l’intérieur-même d’une bulle d’excès construite par ce même autre, t’y complaire, en redemander. Quand chaque destruction se fait plus forte et que s’accélère le rythme cardiaque, suppliant d’en avoir plus, toujours plus, exultant de cette drogue-là, vibrante, grandiose, rouge électrique. Quand exister n’est plus une nécessité, et que ressentir devient la seule préoccupation. Ton corps qui fond, se disloque, se dissout dans l’électrique de sa présence, sa foutue présence auprès de toi. Tu penses pouvoir te représenter la douleur atroce d’un corps qui se brise, d’émotions effusives qui s’entrechoquent et meurent, avant de renaître plus fortes encore, au contact d’une simple caresse, de simples mots jetés au vent ? Tu crois avoir déjà eue l’absolue certitude que la mort serait un sort plus enviable que cet emprisonnement même de la raison, mise en bouteille et jetée à la mer ? En es-tu sûre ? Tes émotions se sont-elles déjà rejointes un sublime pastel, rouge de passion, bleu d’absolu, noir. T’es-tu déjà retrouvée au sol, plus bas même que terre, quand tes lèvres elles-mêmes supplient : Encore ! Tu crois savoir ce que c’est que de mourir de froid près des autres, tant son absence est un supplice ? Tu te trompes, fillette, et dans l’hypothèse où tu douterais encore, je vais te montrer.

III - LOADED WITH COURAGE
Répondez à ces questions. Chaque réponse devra faire au moins cinq lignes.
Depuis quand habitez-vous Reykjavik ? Reykjavik ? J'y suis depuis ma plus tendre enfance, à vraie dire, je suis né ici. Mon père et mon grand-père étaient aussi natif de la capitale islandaise, et pour dire je suis héritier d'une des plus grandes fortunes islandaises, d'une des plus grandes familles du pays. En réalité, seule ma mère, un magnifique mannequin russe déroge à la règle. Mais pour en revenir au sujet principale de votre question, je suis attaché à Reykjavik, même si un jour, je pense bien m'en échapper. Que vous évoque l'esprit de Noël ? Pas grand chose, Noël n'est pas tellement une fête que je porte dans mon coeur. Il parait qu'elle sert à réunir les coeurs, à ressouder les familles entre elles, mais si cette rumeur est avérer dans certains foyer, chez les Van Môshberg c'est loin d'être le cas. J'ai la plupart du temps était seul pour les fêtes, alors ce n'est pas quelque chose que je célèbre avec envie. Avez-vous décoré votre sapin de Noël ? Pourriez-vous décrire votre salon. Est-il plutôt festif ou fade ? Dans mon appartement, il n'y pas de sapin, ni autre témoignage de la période que l'on traverse. Je ne suis pas le genre de personne à foutre des guirlandes à tous mes balcons, à mettre des chaussettes accrochées au-dessus de la cheminée ou conneries du genre. Sur les murs de mon appartement sont accrochées de magnifiques photos en noir et blanc prises par des professionnels réputés dans le métier, je suis un adepte de la sobriété d'intérieur. Par-là je veux dire que mes couleurs de prédilections sont le blanc, le beige, le taupe et le noir. Lorsque j'étais petit la nourrice qui s'occupait de moi était attaché à la décoration du sapin traditionnel, mais maintenant qu'elle n'est plus là, je ne vois pas pourquoi je me ferais chier à mettre un arbre mourant dans mon salon.

IV - WHO WOULD HAVE KNOWN
PSEUDO : Libère-teen
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? bazzart
AVATAR : Mathias Lauridsen
COMMENTAIRE, QUESTION : I'M A BANANA !

pourrait-on me réserve matty ?

MATHIAS Un de mes mannequin préféré
Bienvenue

MATHIAS est un excellent choix
Bienvenue !

Isibeàl, merci beaucoup. Je dois dire que Kristen n'est pas mal dans son genre non plus, et puis, j'adore le prénom !
Aesir, merci beaucoup, mais JAMMMMMMMES quoi !!
merci Hilmar (:

Bienvenue parmi nous.
Je te réserve Mathias.

Bienvenue
edit - Lolaaaaaaa

AAAAAHHHHH BIRDY!!!!
Genre l'un de mes groupes favoris quoi. Puis le reste de la playlist déglingue . En plus le choix de vava!! Mathias quoi ! Ralalah, obligé là, il nous faudra un lien.

Bienvenue

Bienvenue parmi nous

Merci à tous
FAUSTEE ! Décidement, on se retrouve toujours sur les forums, ahah.
BABINE qui ne me reconnait même plus, la coquine. A ton avis qui pourrait avoir d'aussi bons goûts mis à part ma sublime personne ?


Je pense avoir terminé ma fiche, bon comme d'hab elle est pas terrible mais je me rattraperai.

S'il est islandais il faut que ton nom de famille soit composé du prénom du père + sson

Merci du renseignement. C'est changé.

Belle fiche et merci à Gasan de l'avoir signalé, j'allais te faire la remarque.
Tu es validé, bon jeu.