PERLA underco

Messages : 17 Date d'inscription : 07/02/2011 Credits : Lemon.Incest

I - MIRACULOUS BREATH
NOM, PRENOMS : Perla Hannesdóttir. Mon père s'appelait Hannes (pas de jeux de mots ridicules, il en a beaucoup souffert pendant son enfance). Le premier cadeau que mon père a offert à ma mère était un collier en perles nacrées de très bons goût. C'est donc tout naturellement qu'ils ont décidé de me nommer Perla.
DATE DE NAISSANCE, ÂGE : Née le 14 Avril 1985, 25 ans.
ORIGINES : Islandaise uniquement.
TRAITS DE CARACTERE : Votre personnage en quelques mots.

III - LOADED WITH COURAGE
Répondez à ces questions. Chaque réponse devra faire au moins cinq lignes.
Depuis quand habitez-vous Reykjavik ? J'ai toujours vécu ici. Vous savez cette ville c'est toute ma vie. Je ne connais nulle part ailleurs et à vrai dire, je n'ai envie d'aller nulle part ailleurs. On a qu'un seul chez-soi et pour moi c'est cette ville. C'est ici que j'ai tous mes souvenirs, que j'ai vécu tout ce qui a fait que je suis devenue ce que je suis mais c'est aussi la ville de mon enfance. Cet endroit me rappelle ma mère et je pense que c'est pour cette raison que j'ai autant de mal à partir. D'autant plus que je n'ai pas le droit d'abandonner mon père. Surtout pas maintenant. Que vous évoque cette ville et sa période hivernale ? Cette ville représente tout pour moi mais ça vous l'aurez compris, bien que ce ne soit pas la ville en elle-même qui ait autant d'importance pour moi mais plutôt tout ce que j'y ai vécu. En ce qui concerne la période hivernale à part le fait qu'il fasse légèrement plus froid et que je doive plus me couvrir, je ne la remarque presque pas. Pourtant, diffigicile de passer à côté. Mais je suis une workaholic. Je ne sors jamais de mon bureau ou au mieux de chez moi. Comptez-vous fêter la Saint-Valentin ou pensez-vous que cette fête est à unique but commercial et qu'il n'y a aucune raison de fêter quoi que ce soit ? La Saint Valentin est certainement la fête la plus commerciale de toutes les fêtes commerciales. Croyez-moi ! Mais j'ai beau détester la Sant Valentin plus que tout, c'est cette période qui me fait gagner le plus d'argent. Vous savez travailler dans la publicité c'est parfois rébarbatif. Mais travailler dans la publicité au moment de la Saint Valentin ça l'est encore plus. Surtout lorsqu'on est légèrement frustré en amour comme moi. Non pas que je ne sache pas comment aimer. Ou peut-être un peu. Mais je passe juste tellement de temps à travailler que je ne sais pas vraiment ce qu'est l'amour. Ironique quand on voit les affiches et la publicité que je produis...

IV - WHO WOULD HAVE KNOWN
PSEUDO : red swallow et Lisa pour les intimes (a)
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Bazzart le grand I love you

AVATAR : Gemma Arterton PERLA underco 558894

COMMENTAIRE, QUESTION : Le forum est magnifique ! PERLA underco 580313

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II - TO INHALE A BEARD
« Angelíka, vous avez le dernier cahier des charges ? » Un café à la main, un dossier dans l'autre, je toisai ma secrétaire dans l'embrasure de la porte de son bureau. Enfin, toiser était un bien grand mot. Je la regardai juste d'une hauteur assez importante qui normalement donnait cette impression de force. Normalement. Parce que dans le cas présent, c'était loin d'être le cas. Vraiment loin. J'avais même plutôt l'impression d'interrompre quelque chose. « Madame Hannesdóttir. Je suis désolée je suis... » Je ne lui laissai pas même le temps, pensant que de tout de façon, ça ne ferait qu'aggraver son cas. « Dans une situation plus qu'inconfortable ? Je ne vous le fait pas dire ! Remettez tout de suite ce chemisier, et sortez immédiatement de ce bureau ! Inutile de précisez que vous êtes virée ! » Tomber sur une situation comme celle-ci était vraiment absurde. Totalement déplacée et... Écœurante. Je me devais d'expliquer la situation. Mon assistante se trouvait bien plus bas que moi pour la simple et mauvaise raison qu'elle était agenouillée par terre à côté du bureau et qu'un homme était assis dans son fauteuil. Je vous laisse imaginer la suite, je n'ai aucunement envie de m'épancher sur les détails. C'en était à vomir.